Les récents jugements pour fraude rendus à l’encontre de marchands d’art et de courtiers démontrent que seules, la confiance et la réputation n’offrent pas de protection aux collectionneurs.
Il est par conséquent impératif de procéder systématiquement aux vérifications qui s’imposent afin de réduire le risque d’un abus de pouvoir par le marchand et d’éviter qu’il n’emploie les actifs du collectionneur de façon incontrôlée.
Découvrez le dernier chapitre de la chronique d’Anne Laure Bandle, Droit dans l’art, publiée dans le Bilan magazine: lire